En voir un, maintenant, signifie que la
migration vers le sud est commencée. Vaut-il la peine de retrouver l'abreuvoir, de le remplir de liquide rouge et sucré, de le suspendre entre l'hibiscus, le géranium et le fuschia, petite halte routière où ils pourraient prendre le thé/faire le plein?
1 commentaire:
J'en ai vu un ce printemps, dans le lilas le 25 mai à 17h13. Vision si soudaine, si fugitive, je croirais avoir rêvé si je n'avais pas envoyé un courriel à tout le monde sitôt le miracle envolé. Pas de biscuits en son honneur.
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