Les deux traductions du
Cha jing se présentent sous des formes bien différentes: alors que Véronique a pu utiliser une mise en page très claire où le texte traduit est séparé des notes explicatives, Soeur Jean Marie, il y a presque 30 ans, a dû faire des choix dans la romanisation des noms chinois, dans l'inclusion d'explications dans son texte ou en fin de livre, choix qui sont difficiles à détecter à la simple lecture.
1 commentaire:
Je suis en pleine lecture comparative de l'histoire du thé en Chine, dans mes nombreux livres. Le chinois reste du chinois.
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