MMMMMMMAAAAAAAAAIIIIIIIIIISSSSSSSSSSSS voilà qu'un déclic s'est produit devant les drapeaux tibétains de la théière nomade. Un souvenir vieux d'au moins 25 ans, du temps de la calligraphie. La société dont j'étais alors membre avait proposé de calligraphier des poèmes sur des rectangles de papier, puis de les suspendre aux branches d'arbres en fleur au printemps, coutume japonaise nous avait-on expliqué.
Nous n'avions qu'un jeune amélanchier à l'époque, dont j'ai garni les branches de bandelettes brunâtres, maintenues par de la corde de jute, car il n'était pas question de les déloger une fois illisibles, la nature se chargerait de les dénaturer noblement. Ce qu'elle a sûrement fait puisque je n'en vois nulle trace.
J'allais suivre cette même voie quand🎇euréka!
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qu'ils soient en chanvre de manille
C'est trop tôt pour suspendre les tanzaku, les boutons sont loin d'éclore
mais les oiseaux viennent lire et chantent leur accord.
mais les oiseaux viennent lire et chantent leur accord.
3 commentaires:
Mais quelle belle idée... des poèmes pour les oiseaux.
(…) "dénaturer noblement", quelle jolie formule! Quant aux petits rectangles à suspendre, c'est effectivement une des très nombreuses coutumes japonaises dont j'ai oublié le nom mais si je ne me trompe, elle a lieu en juillet, je me renseigne auprès de mon amie et je t'en dirai plus.
Belle journée, à tout bientôt
Merci à vous deux, ces shikishis (carré) et ces tantakus (rectangulaire) font de bonnes girouettes tant que le vent ne réussit pas à les arracher... il n'en reste qu'un dans l'amélanchier.
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