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¨Qu’on le veuille ou non, la nouvelle politique agricole de l’administration nous oblige à changer nos rapports avec la population, poursuivit Karel sur un ton moins mesuré et pontifiant qu’auparavant. Il faut le comprendre! Et agir en conséquence! Les gens ne sont pas seuls à travailler pour nous, nous travaillons aussi avec eux. Si nous faisons du thé vert, il y aura assez de débouchés pour les feuilles des plantations indigènes. Cela stimule l’ardeur au travail et la prospérité locale, et c’est cela en fin de compte que nous avions en vue quand nous avons commencé.Un immense marché asiatique s’ouvre devant nous pour le thé vert. C’est aussi l’intérêt des planteurs européens d’en prendre conscience. Oui, je n’en démords pas!¨ dit-il en élevant le ton.
HellaS, Haasse Les seigneurs du thé v.o.1992, v.f. 1996
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