c'est la théière
qui me mène
au thé.
Cette fois, je suis capable
de retracer mon trajet. Tout a commencé avec l'abonnement à
http://www.topix.com/drink/tea qui se contente de pointer vers un
article. Le titre de celui-ci http://www.macleans.ca/society/the-last-words-of-10-canadians/ n'annonçait pas de thé mais il y avait effectivement, parmi les dernières paroles de dix Canadiens, une théière.
Finalement, Blyth est un des auteurs de Monsoon Traders, un livre sur les fameux indiamen que Jack Aubrey tenait en piètre estime: lourds et lents, il leur fallait une escorte pour les protéger des pirates. J'aurai du mal à mettre la main dessus.
“I leave John Caddle a silver teapot, to the end that he may drink tea therefrom to comfort him under the affliction of a slatternly wife.”—From the last will and testament of army surgeon and Canada Company official William “Tiger” Dunlop (1792-1848)N'ayant jamais entendu parler de Tiger Dunlop, je poursuis au-delà de wikipedia (il aurait lui-même tiré au sort le mariage avec leur gouvernante Louisa: son frère Robert a gagné). Un des résultats, Huron en Ontario, m'obligera à ajouter Blyth pour découvrir que la peintre dont on peut apercevoir l'autoportrait en réflection sur la théière en argent est Rose Pearson. Blyth me mènera aussi à ce conte des trois théières, à Calgary. Beau travail, Abi!
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