11 août 2014

C'est la théière qui me mène

qui me mène,
c'est la théière 
qui me mène
au thé.
Cette fois, je suis capable de retracer mon trajet. Tout a commencé avec l'abonnement à  http://www.topix.com/drink/tea  qui se contente de pointer vers un article. Le titre de celui-ci http://www.macleans.ca/society/the-last-words-of-10-canadians/ n'annonçait pas de thé mais il y avait effectivement, parmi les dernières paroles de dix Canadiens, une théière.
“I leave John Caddle a silver teapot, to the end that he may drink tea therefrom to comfort him under the affliction of a slatternly wife.”—From the last will and testament of army surgeon and Canada Company official William “Tiger” Dunlop (1792-1848) 
N'ayant jamais entendu parler de Tiger Dunlop, je poursuis au-delà de wikipedia (il aurait lui-même tiré au sort le mariage avec leur gouvernante Louisa: son frère Robert a gagné). Un des résultats, Huron en Ontario, m'obligera à ajouter Blyth pour découvrir que la peintre dont on peut apercevoir l'autoportrait en réflection sur la théière en argent est Rose Pearson. Blyth me mènera aussi à ce conte des trois théières, à Calgary. Beau travail, Abi!
Finalement, Blyth est un des auteurs de Monsoon Traders, un livre sur les fameux indiamen que Jack Aubrey tenait en piètre estime: lourds et lents, il leur fallait une escorte pour les protéger des pirates. J'aurai du mal à mettre la main dessus.

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