09 juin 2014

Dickensien

En ce lieu vénéré, j’ai eu le bonheur et le privilège – j’ose à peine l’avouer – d’apercevoir la Dame aux cheveux blancs et aux yeux rouges, mangeant une tourte à la viande avec le Géant, tandis que, en bordure de la haie, sur le coffre à couvertures dont je savais qu’il renfermait les serpents, étaient disposées les tasses, sous-tasses et la théière.
Charles Dickens Voyageur sans commerce  2009 Editions de l’arbre vengeur  The Uncommercial Traveller 1860

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