C'est un vieux projet, que le retour des Mosaïcultures ravive: transformer cette théière de broche en mosaïculture.
J'ai déjà installé un lierre à l'intérieur, il a poussé suffisamment pour donner l'illusion d'un jet de thé sortant du bec mais il n'a jamais rempli le corps de la théière autour de son pot.
Même si j'ai encore ce lierre, dont la feuille correspond parfaitement à celles de métal, j'ai appris avec le temps que son arrosage était délicat, ses feuilles trop écartées quand la lumière manque. Il me faut trouver une autre plante, qui poussera plus drue.
En fouillant, je ressors ce canard de terre cuite dont je me souviens qu'il fallait le remplir d'eau et le couvrir de graines minuscules. Impossible de retrouver de quelles graines il pouvait s'agir, qui germaient rapidement et donnaient, non un plumage mais une toison verte, tellement les feuilles étaient petites et serrées.
Il me faut aussi penser sérieusement à l'arrosage. Quand je vois Cailloudo à sec cet été pendant que la mosaïculture de l'arrondissement dégoutte doucement à quelques mètres, je réalise combien maintenir en vie les plantes qui composent ce papillon réclame de ressources.
Théière de broche, mais pas broche à foin. Il me faut d'abord répondre à la question primordiale: est-ce que je la veux à l'intérieur à l'année ou dehors cet été? Ce qui orientera le choix de la plante qui la garnira.
1 commentaire:
J'aime beaucoup l'idée! Et la théière de broche est très jolie! Ça ferait une bien belle mosaiculture!
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