D'abord, c'est un beau livre, ce dont j'aurais pu me rendre compte en le
feuilletant, au lieu de m'arrêter au titre en me disant "je n'en bois
pas".
Si je l'avais soulevé et survolé en librairie ou boutique, mon oeil aurait capté ces motifs dans les coins supérieurs des pages de texte et sur les pages noires annonçant chaque chapitre.
Thé vert À la rencontre d'un art millénaire. Editions de l'homme 2012 |
Si je l'avais soulevé et survolé en librairie ou boutique, mon oeil aurait capté ces motifs dans les coins supérieurs des pages de texte et sur les pages noires annonçant chaque chapitre.
Les aquarelles et dessins de Marie Bilodeau auraient emporté le morceau.
Mais je n'y ai pas touché. Il aura fallu la critique de Mademoiselle Thé pour me convaincre de le commander illico.
Il se lit bien. J'aime sa couleur, son format, son poids, sa tenue, sa police bâton, son texte aéré.
Il se lit très bien car les auteurs - et leur plume - bien que marchands de thé à Montréal, voyagent dans les pays producteurs et rencontrent les artisans du thé, les potiers, souvent leurs familles aussi. Ils nous parlent de leurs recherches, de leurs trouvailles, des expériences en cours, des influences diverses, depuis la météo jusqu'aux modes dans les choix des consommateurs, qui font qu'un cultivar se multipliera pendant qu'un autre sera laissé pour compte. Trente-deux thés jalonnent leurs périples et se méritent, à la fin, un résumé de leurs qualités et un compte précis de leurs antioxydants et de leur caféine, pour ceux que ça intéresse.
Les amateurs de recettes ne doivent pas espérer en trouver dans ce livre qui n'en présente que deux de wagashi et deux de thés indiens, dont il faut noter les pages car il n'y a pas d'index.
Par contre, ce qui manquait dans leur premier livre se pointe dans celui-ci: la poésie.
Il se lit bien. J'aime sa couleur, son format, son poids, sa tenue, sa police bâton, son texte aéré.
Il se lit très bien car les auteurs - et leur plume - bien que marchands de thé à Montréal, voyagent dans les pays producteurs et rencontrent les artisans du thé, les potiers, souvent leurs familles aussi. Ils nous parlent de leurs recherches, de leurs trouvailles, des expériences en cours, des influences diverses, depuis la météo jusqu'aux modes dans les choix des consommateurs, qui font qu'un cultivar se multipliera pendant qu'un autre sera laissé pour compte. Trente-deux thés jalonnent leurs périples et se méritent, à la fin, un résumé de leurs qualités et un compte précis de leurs antioxydants et de leur caféine, pour ceux que ça intéresse.
Les amateurs de recettes ne doivent pas espérer en trouver dans ce livre qui n'en présente que deux de wagashi et deux de thés indiens, dont il faut noter les pages car il n'y a pas d'index.
Par contre, ce qui manquait dans leur premier livre se pointe dans celui-ci: la poésie.
* * *
Ce que j'aurais préféré à la fin de la section Japon: une photo de Kagemori Sensei.
Ce qui m'a fait sourire: dans la bibliographie, y trouver leur premier livre, celui de 2009, ce qui pourrait expliquer que celle-ci soit plus courte...
Ce que je retiens: toucher une poterie avant de l'acheter, comme le souhaite M. Kamada.
©KH2013
Ce que j'aurais préféré à la fin de la section Japon: une photo de Kagemori Sensei.
Ce qui m'a fait sourire: dans la bibliographie, y trouver leur premier livre, celui de 2009, ce qui pourrait expliquer que celle-ci soit plus courte...
Ce que je retiens: toucher une poterie avant de l'acheter, comme le souhaite M. Kamada.
©KH2013