dans "
La course du thé" et si je n'avais déjà lu à haute voix tous les Aubrey-Maturin et tous les Hornblower, j'aurais abandonné la lecture de ce voyage maritime. Je pouvais aussi comparer plus directement avec le récit qu'en brossent F.W. Wallace au début du 20e siècle (
Tea from China and other yarns of the sea) et Geoffrey Bird en 2008 (
One man's empire).
Aucun commentaire:
Publier un commentaire