Pékin, 12 juin 1909
Mais il me restait un autre quart d’heure à Han-K’eou. Je ne l’ai pas perdu : Tondon (qui s’est prodigué en gentillesses, jusqu’à tout me débrouiller à la gare, et se charger de t’expédier ton thé (tontaine Ton-Don!) m’avait exhibé la veille les splendides broderies du Sseutch’ouan possédées par le sous-receveur des Postes.
Victor Segalen Lettres de Chine Lettres à sa femme Librairie Plon 1967
Aucun commentaire:
Publier un commentaire