10 mars 2020

Lentement

J'en suis à 16 désabonnements, quand j'en ajoute à ma liste, je confirme qu'aucun des éliminés ne me manque. Par contre, lorsque me parvient l'annonce d'une nouvelle publication,
le no 3 de Eighty Degrees sera expédié le 17 mars
j'apprécie ce rappel qui me permet de pré-commander, me prouvant ainsi que je n'ai toujours pas tranché la question: Avoir ou pas?
Certains me font hésiter, glissant de l'info parmi les offres de produits, comme IPOT récemment, avec une liste d'articles pertinents dans différents médias,
le premier sur Darjeeling dans Imbibe,
le deuxième sur le thé rose du Cachemire dans Atlas Obscura, (le sel cède le pas au sucre quand ce thé passe à l'ouest),
et le troisième dans Wine Enthusiast sur le thé aux US, toujours vu comme plus prétentieux que le café:
Then there’s the image problem. Nine-dollar lattes and butter-maca-collagen mix-ins have done little to shake the perception of coffee as humble, approachable and patriotic. Tea, on the other hand, is often viewed as stuffy, foreign or pretentious.
“There’s an impression that it’s not convenient, quick and sociable, like coffee is,” says Satiani.
Tout le monde vit bien avec ses contradictions.


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