Pour la première fois, j'ai offert du thé pour accompagner le repas. Le genmaïcha n'a pas plu à Fille Aînée mais tout le monde a apprécié
mon chaï. J'ai préparé la deuxième bûche, celle de la forêt noire, en substituant au café du thé "gâteau velours rouge": la cadette a aussitôt détecté un changement, sans pouvoir l'identifier puisque je ne lui en ai jamais offert à boire. Je n'ai pipé mot, parce que son aînée n'aime pas ce thé... et a pourtant raffolé du gâteau. Hé hé!
4 commentaires:
Je reconnais bien là le stratagème que j'utilise aussi pour faire "passer la pilule"!
Moi qui croyais que tu étais aussi transparente à table que dans ton blogue!
Tout à fait entre nous, je serais plutôt machiavélique face à des idées préconçues du genre: "le thé en cuisine, ça promet... ", ceci n'est pas une remarque positive of course ou alors quand je réponds qu'on fait bien de la cuisine au vin et au chocolat: "si c'était à faire, les grands chefs s'en seraient emparé!" Quant à mon blogue (ou blog comme on dit ici), j'insère parfois des messages codés +/- sibyllins...pas du tout machiavéliques ceux-là mais trop privés pour être lus par tous.
Ma mère partait du principe que ce qu'ils ne savent pas ne leur fait pas mal. As-tu déjà rencontré qqn allergique au camellia sinensis?
Loin d'être machiavélique, tu signales toujours qu'il s'agit d'un message codé et non d'un rébus.
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