Quand on m'a annoncé que le contracteur venait "finir la job", j'ai dépoussiérer la théière de circonstance, ressorti le thé qui l'accompagne: il en restait juste assez pour une fois.
Or, après son départ, je constate que les fossés bordant le nouveau trottoir à gauche
et à droite, laissant les fils électriques à découvert depuis janvier, se creusant de plus en plus avec le tassement du gravier depuis novembre, au point qu'une marmotte s'y est installée,
n'ont pas été comblés. Pas plus que l'infime fente dans le nouveau béton, celle qui laisse la pluie du nord-est s'infiltrer dans la chambre froide.
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