Barbara Pym Une corne d’abondance 1992 (A glass of blessings 1958)¨Vous voyez, Wilmet, je ne crois pas en Dieu, déclara Keith simplement. Au revoir et merci pour ce thé délicieux. J’espère vous revoir très bientôt.-Saluez Piers de ma part¨, dis-je; car à présent je pouvais employer à son égard cette formule creuse et désinvolte dont on usait avec tout le monde, cela n’avait plus d’importance.
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