Maria Kiparissova la considéra d’un air lugubre de ses grands yeux noirs.Lydia Tchoukovskaïa Sophia Pétrovna réédition en 2007 par les Editions Interférences de La Maison déserte (écrit en 1939-40 à Leningrad, publié en russe à Paris en 1965 puis en français en 1975 par Calmann-Lévy, en 1988 en Russie)
« Au revoir, Sophia Pétrovna, dit-elle sans sourire.
- Quand Ivan Ignatiévitch sera de retour, vous m’inviterez à goûter! dit Sophia Pétrovna. Pourquoi êtes-vous si abattue? Puisqu’il n’est pas coupable, tout ira bien. Dans notre pays, il ne peut rien arriver à un homme honnête. C’est un malentendu, tout simplement. Allez, du courage… Si vous passiez prendre une tasse de thé un de ces jours? »
Haïku ou cartoon? Je condense en deux cuillères à thé, rases ou combles. ©KH2005-2024
17 octobre 2010
da svidaniya
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