Il dit aussi que le choix d’une bonne eau était primordiale, que celle-ci devait jaillir de la montagne sur des rochers sans mousse ni végétation, qu’il était inutile de remuer le thé, et que les gouttes versées par inadvertance sur la nappe ne signifiaient nullement que le geste était malheureux, bien au contraire : « Ces gouttes sont la part de la terre, la part qui lui revient. »Gérard de Cortanze Assam 2002
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2 commentaires:
Gouttes versées par inadvertance... j'adore cette philosophie, je reprends à mon compte, même si mes gestes sont extrêmement maladroits.
Crois-tu que déguster le thé est une pratique comme le vélo? Que cela revient vite? Cela fait tellement longtemps...
Le thé est comme la danse...
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