Il existait alors à Gion-Kobu plus de cent cinquante ochaya ou maisons de thé, au cadre serein et raffiné, bruissantes d’activité chaque soir de la semaine. Une geiko pouvait se rendre en l’espace de quelques heures dans trois ou quatre ochaya différentes, d’où un grand nombre d’allées et venues à la nuit tombée dans les ruelles du quartier. En septembre 1965 fut posé un réseau téléphonique privé qui relia les unes aux autres l’ensemble des okiya et des ochaya.Mineko Iwasaki Ma vie de geisha 2003 Michel Lafon (2002 Geisha, A Life)
Haïku ou cartoon? Je condense en deux cuillères à thé, rases ou combles. ©KH2005-2024
20 septembre 2009
Modernité
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire