chez La théière nomade, qui partage une traduction du poème de Ann Lee Tzu Pheng, dont j'ai retrouvé l'original en anglais chez takeela.
Le glow de Pheng m'a rappelé le dying of the day de Dylan Thomas et a déclenché, bien avant les ... de Francine, une adaptation* personnelle, que je soumets ici.
Nul ne sait quand
il est temps de partir,
tu n'auras pas le temps
de contempler la lueur,
alors, bois ton thé
à petites gorgées.
La vie est si courte, semble pourtant si longue,
il y a trop à faire, tant à redresser,
et trop souvent, tu combats, stressée,
Avant qu'il soit trop tard,
temps de partir,
bois ton thé
à petites gorgées.
Des amis restent,
d'autres partent,
aimés, chéris, tous ne restent pas,
Les enfants grandiront
et s'envoleront,
Impossible de dire comment ça ira,
Alors, bois ton thé
à petites gorgées.
Ultimement il ne s'agit
que de saisir l'amour,
sur cette terre
et dans les étoiles,
distinguer qui se soucie vraiment
Souris, inspire, et chasse tes tracas.
Voilà, bois ton thé
à petites gorgées.
KH
*je n'ai pas retenu toutes les majuscules qui abondent dans l'original.
3 commentaires:
@ Kris: Quelle jolie traduction... Je t'engage pour les suivantes! Belle journée lumineuse à toi. Et MERCI pour le tsunami d'émotions (= message codé)
Merci à toi, Francine, de me stimuler à petits points comptés;-) Je ne croyais pas te tsunamiser, juste te surprendre, et j'ai grand hâte, comme toi, d'en apprendre plus. Nos météos se ressemblent aujourd'hui, je te laisse le soleil. K
Stéphane nous encourage à nous enivrer... à petites gorgées.
http://teamasters.blogspot.com/2021/04/enivrez-vous.html
Publier un commentaire