Me réjouir plutôt que rugir.
Mon oeil repère d'abord la théière, bien sûr. Que le graphiste l'ait choisie pour illustrer un article faisant l'éloge de la paresse, avec un livre et un chat, ne devrait pas m'irriter. Une autre gorgée et hop, avalé le cliché.
Dans le même numéro de lapresse+, celui du 2 janvier 2014, à nouveau du thé, vert pour "se remettre du réveillon". Les notes vont, sur 5, de 3,5 à 1,5; les prix, par gramme, de 15¢ à 2¢. Mieux vaut finir ma tasse que me demander qui a choisi ces thés et qui les a goûtés.
D'habitude je lis le texte qui accompagne chaque photo du calendrier des théières à la fin du mois, juste avant de tourner la page. Pourquoi ai-je lu ce matin celui de janvier??!
Quel hasard m'a fait lire dans la demi-heure suivante ce texte de Malzieu "j'ai eu plus mal encore que si on m'arrachait la peau avec une fourchette à escargots"? Et retourner examiner la photo de janvier pour identifier ce qui m'avait fait tiquer.
Il est temps de refaire une théière, surtout qu'il fait -24°C dehors et à peine 17 dans la maison.
:-)
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