Il essaya en vain de s’éventer avec un éventail de feuilles de bananier qui ne déplaçait que de l’air chaud. Quoiqu’il eût déjà ingurgité une mer d’eau froide, il ne pût s’empêcher de se précipiter dans une maison de thé. Il se calma après deux pleines théières bouillantes. La sueur lui sortait par tous les pores. Son corps n’était plus qu’un réservoir vidé.Lao She Le pousse-pousse1936 (Editions Philippe Picquier 1995 Traduction française par François Cheng et Anne Cheng 1973 Robert Laffont)
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