Tiré de son dernier livreQuand, au terme d'une expédition en ville, les deux femmes regagnaient l'appartement de la montagne Sainte-Geneviève, la maîtresse des lieux débouchait une bouteille de champagne en disant que le Deutz était son thé préféré.
que j'ai pensé à réserver à la bibliothèque municipale avant même sa sortie et que j'ai donc fini de lire depuis une semaine quand je vois dans mes courriels ce matin:-)
Le titre était prometteur mais si peu connecté au sujet, vengeance et haine, dans cet ordre.
J'en retiendrai ceci:
- Alimenter les conversations, avoir l'air ravi de revoir des gens ennuyeux à périr, ne pas les jeter dehors alors qu'on rêve d'aller se coucher, et savoir qu'en guise de remerciements on sera convié chez eux à des soirées comparables, c'est le prix à payer pour ma belle vie.
- Il paraît que vous y excellez.
- Qu'est-ce que cela change? On peut détester ce en quoi on excelle.
2 commentaires:
Chrystine Brouillet parle aussi du Deutz dans son dernier roman, Chambre 1002, juste comme deux de ses héroïnes quittent Mariage Frères.
Je finis d'écouter le dernier Nothomb, et le champagne est plus présent que le thé dans Les Aérostats, il y a vraiment très peu des deux.
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