https://www.nytimes.com/2018/07/20/t-magazine/art/laure-prouvost.html Laure Prouvost parle du thé et de ses grands-parents: son grand-père mettait les sachets usagés sur le calorifère dans le but de les réinfuser. Elle a repris ce détail dans une exposition.
J'ai vu pire dans Train de nuit pour Lisbonne avec Jeremy Irons, dans les premières scènes: Gregorius verse son eau bouillante dans sa tasse avec déjà une cuillère dedans, on le voit ouvrir une boîte en carton qui ne contient plus rien, il la met à la poubelle et y reprend un sachet usagé qu'il met dans sa tasse.
J'ai lu semblable ignominie dans La jeune fille et la nuit de Guillaume Musso: "Tu dévalises ma boîte à pharmacie et tu me demandes même de lui préparer du thé. Comme une cruche, tout ce que je trouve à te répondre, c’est je m’en occupe. Et comme je n’ai plus de thé, je suis contrainte de récupérer un vieux sachet au fond de la poubelle."
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https://www.nytimes.com/2018/07/20/t-magazine/art/laure-prouvost.html
Laure Prouvost parle du thé et de ses grands-parents: son grand-père mettait les sachets usagés sur le calorifère dans le but de les réinfuser. Elle a repris ce détail dans une exposition.
J'ai vu pire dans Train de nuit pour Lisbonne avec Jeremy Irons, dans les
premières scènes:
Gregorius verse son eau bouillante dans sa tasse avec déjà une cuillère dedans, on le voit ouvrir une boîte en carton qui ne contient plus rien, il la met à la poubelle et y reprend un sachet usagé qu'il met dans sa tasse.
J'ai lu semblable ignominie dans La jeune fille et la nuit de Guillaume Musso: "Tu dévalises ma boîte à pharmacie et tu me demandes même de lui préparer du thé. Comme une cruche, tout ce que je trouve à te répondre, c’est je m’en occupe. Et comme je n’ai plus de thé, je suis contrainte de récupérer un vieux sachet au fond de la poubelle."
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