a commencé quand j’ai entendu les oiseaux circuler dans l’amélanchier. L’attrait de ses fruits, qui n’atteignent jamais la maturité, est tel que les merles – rouge-gorge – ont bien du mal à aller dormir et sont les premiers à l’œuvre le matin, sans un cri, comme pour ne pas alerter d’autres amateurs.
1 commentaire:
En 2010, j'ai vu l'amélanchier rester intact, tous ses fruits mûrissant comme jamais encore. Cette année, sans faucons dans le coin, les oiseaux sont tous là, se gavant de fruits à peine rougis: jaseur des cèdres, moqueur-chat...
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