Dany Laferrière écrit dans la Presse du 28 mai:
"Je trouve place tout au fond de ce petit café, un de ces cafés qui ont poussé comme des champignons depuis une dizaine d'années dans de petites rues désertes et ombragées. Plutôt fréquenté par des gens du quartier ou des étudiants fauchés qui ne commandent que du thé vert ou une salade tout aussi verte. La vie verte d'aujourd'hui. On se demande comment fait le propriétaire pour boucler le mois."
2 commentaires:
P.37 de "Je suis un écrivain japonais", Laferrière prend un thé vert au café Sarajevo.
Dans Tout ce qu'on ne te dira pas, Mongo, Laferrière raconte (vie de café X): Le propriétaire m'a annoncé qu'il va fermer parce qu'il n'a pas assez de clients. ... Juste pour ces gens-là, j'ai gardé le café le plus longtemps possible, mais aujourd'hui c'est impossible. ... Je jette la serviette, mais je ne me plains pas, j'ai fait un café comme je l'entends.
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