Depuis le 6 février, une rubrique "guerre commerciale" dans le journal numérique lapresse+ nous détaille d'où viennent les produits, distinguant le propriétaire ou siège social de l'usine où ils sont fabriqués, ainsi que ceux de la province, du pays, de l'étranger et du voisin au sud.
Dans l'ordre d'apparition, lait , papier toilette, peinture, tartinades confitures , pâtes alimentaires , tomates en dés, pneus, nettoyant, nourriture pour chiens, croustilles, jeans, café (12e), shampoing, bâtons de hockey, mayonnaise,dentifrice, aspirateurs, boissons gazeuses, skis, logiciels pour impôts, serviettes hygiéniques, détergent lessive, barres tendres, crème hydratante visage, déodorant antisudorifique, pain tranché, lave-glace, couches bébé
et le 24 mars, ô surprise, le thé, 29e arrivé dans la liste, juste avant la bière.
Après un soupir sur la première phrase, affirmant que le thé ne poussait pas au Canada, ainsi que sur la seconde qui se voulait encourageante en ajoutant les tisanes..., j'ai poursuivi et découvert une longue liste de commerces partout dans la province, puis de plus courtes pour couvrir les ailleurs.
En février, j'ai eu la nostalgie de mes théiers et en recevant la semaine dernière un courriel des serres locales annonçant que Camellia sinensis était disponible, je prévoyais commander bientôt. C'est fait.
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