Je lisais récemment l'"adieu" d'un blogueur du thé qui écrivait puissamment:
There are more tea blogs, I feel, than actual tea blog readers. Just as there are more orthodox tea companies than there are actual orthodox tea drinkers. To survive, many of my compatriots have diversified their content: videos, classes, tutorials, events, etc. All for the sake of the Almighty Algorithm.
I’m too old for that shit.
et qui terminait sur des notes de dégustation de thé:
It had an intro of wonderful memories, with a top note of adventures savored, followed by a lingering finish of gratitude.
En cette journée mondiale du climat, en lisant à voix haute "L'enfer numérique" de Guillaume Pitron:
Un courriel générerait au minimum 0,5 grammes, voire 20 grammes de carbone si une pièce jointe lui est attachée. C'est l'équivalent d'une ampoule allumée pendant une heure.
je n'ose calculer combien je pollue avec ce billet, ce blogue depuis 16 ans...
2 commentaires:
Je suis venue lire ce billet bien plus tôt dans la semaine et je n'ai pas commenté sur le coup. Je reviens pour le faire et c'est troublant, mon commentaire ne sera pas le même. Il y a de nombreux médias, réseaux, blogs, comtes instag*. Peut-être trop, surement. Il y a de la qualité, beaucoup de médiocrité et même d'influences simplistes. Je me dis que le partage de qualité, d'esprit ouvert est toujours bon, même si "polluant" car justement il dépollue. Même si ce n'est qu'une tête par jour, je suis heureuse de suivre des médias qui permettent d'être la meilleure partie de soi (et je ne parle pas de bienveillance pour lequel terme j'ai beaucoup de guillemets à mettre.
Nous continuons à lire ce livre à voix haute, moi cherchant à réduire ma consommation d'Internet, mon auditeur (en télécom) pas du tout culpabilisé par son dernier ordi super-rapide et ses 4 écrans grand format. Alors je vais laisser s'éloigner cette tentation et, comme toi Vanessa, je vais continuer à visiter les sites qui me dépolluent.
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