j'ai fini par trouver une nouveauté
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Le feuilleter a confirmé la richesse de ses illustrations et la finesse de son texte que j'ai finalement commencé à la première page. Ah! il s'agirait d'une relation thérapeutique, tant pis, c'est bien écrit et que vois-je en page 13?
Je lis Gilgamesh depuis que Vanessa en a parlé le 12 juin. Mon dernier Silverberg remonte à 1982, année où j'ai à peu près cessé de lire de la science-fiction, et je déguste celui-ci qui s'en éloigne complètement. J'alterne entre les deux livres, une cuillerée de l'un, une cuillerée de l'autre. Chacun son goût, long en bouche. Ce n'est que dans les vingt dernières années que j'ai appris à fermer un livre, un roman pour le faire durer parce qu'il était trop bon, ou parce qu'en le grugeant lentement, j'en extrairais la moelle.
Je poursuis donc le voyage par étapes ponctuées de tasses suffisamment théinées
pour figurer ici, et puis voilà, p.98, confirmation de relation thé-rapeutique
en nous racontant des histoires qui nous ont fait sourire, des histoires de tasses et de soucoupes, des histoires de thé vert et de thé à la menthe, des histoires thé-rapeutiques. Marielle Maheuet toujours la petite tasse de toutes les couleurs
pour contrebalancer le gigantesque Gilgamesh.
2 commentaires:
J'ai envoyé ce livre à une amie qui prenait sa retraite de la pratique psy: j'ai bien essayé de le relire avant, mais teinté de ses efforts pour assurer le bien-être de ses clients-patients avant son départ, l'attachement de la petite tasse envers sa soucoupe m'a paru étouffant.
L'amie n'a pas avancé beaucoup dans la lecture.
J'avais tellement aimé Gilgamesh que j'ai emprunté la bd de Harder. Elle saute toute l'enfance que j'avais appréciée pour commencer d'emblée avec le droit de cuissage dont il abusait. Je n'ai guère poursuivi après l'arrivée de son double.
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