Depuis leur arrivée ici, je crains les infestations qui pourraient résulter de trop ou pas assez de chaleur, d'arrosage ou d'engrais. Les théiers, quoique résistants, peuvent quand même subir de lourdes pertes quand les conditions leur sont défavorables, comme cet été en Inde. Les risques de voir une Helopeltis theivora ici sont à peu près nuls, malgré le réchauffement de la planète. Les chances de voir un criquet vert sont aussi minces et je ne m'illusionne pas: cet insecte posé sur le bbq n'était pas un Paoli.
De même cette araignée que je n'ai plus vue depuis juillet n'était pas le redoutable tétranyque mais une salticidae, selon ce livre très pointu sur le sujet.  |
| araignée Salticus scenicus se trouve principalement sur les murs extérieurs des habitations. Les Salticidae se distinguent des autres araignées par la disposition des yeux, la grande dimension des yeux médians antérieurs et le mode de déplacement saltatoire. p.190 Guide d'identification des araignées du Québec Pierre Paquin Nadine Dupérré |
Je devrai consulter celui-là pour savoir si le Early Grey pond dans le chèvrefeuille du voisin, et visiter l'Insectarium pour voir une parente de Tea Deva.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire