L'article de Y.O. hier n'a pas pu éveiller de souvenirs de mon père faisant du thé, comme il l'a fait pour S. Phelan, puisque je n'ai jamais vu mon père boire du thé, malgré son anglophilie. Toutefois, la phrase
"John took the role of the tea maker, for being English."
m'a rappelé celle de Richardson dans La fin de l'alphabet: "Pour un Anglais, il ne faisait pas très bien le thé." et j'ai retrouvé ce qui amenait cette opinion:
C'est troublant, d'une part de voir les étiquettes que nous apposons, même sur les "personnes significatives"(SO) de nos vies, et de constater que, en dépit d'instructions claires sur les emballages de thé anglais, qu'ils soient en métal ou en carton, pour des feuilles ou des sachets, l'exemple l'emporte, d'autre part."Sa femme aurait commencé à remuer dans son sommeil. Encore cinq minutes, aurait-elle mendié juste assez fort pour qu’il l’entende tout en préparant une tasse de thé tiède avec trop de lait. Comme d’habitude."
Taylors of Harrogate |
Jacksons of Piccadilly |
Williamson & Magor |
Ainsi en va-t-il de mon souhait d'acquérir le livre Tifortou et Touforti, et ce dernier de Mélanie Rutten, Öko un thé en hiver... c'est la faute grâce à Vanessa.
3 commentaires:
Je pense fort à toi, une tasse en solitaire, pas de transmission mais une envie de partage... clin d'œil dans mon dernier billet!
Merci, Vanessa! Je souhaite encore plus fort les trouver grâce à ton billet qui me permettra, eh oui, de les attendre plus patiemment.
Tous les liens encore valides!
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