2 des 3 bibliothèques que je fréquente en ligne ne donnent plus accès aux dossiers d'abonnés depuis deux semaines mais maintiennent leurs courriels. Voici donc 10 ans de bd.
J'ai déjà emprunté une bd numérique, pour découvrir que Edge ne me propose pas un lecteur compatible, c'est donc plus simple, mais souvent tellement lourd , de continuer sur papier.
J'ai appris à lire très tôt pour déchiffrer les comics dans le supplément du journal inséré dans l'édition du samedi. Tarzan et Mandrake étaient mes préférés, je ne saurais dire jusqu'à quand, mais quelques années plus tard, il m'a semblé enfantin de LE voir dévorer les albums Spirou dès leur sortie et d'entraîner Fille Aînée à sa suite quand elle atteignit l'adolescence. Ils sont tous les deux convertis aux k (kobos et kindles) et ont renoncé aux bd. C'est donc par moi-même que j'ai renoué, il y a une quinzaine d'années, avec les livres illustrés - oui, ceux "à partir de 7 ans" dès qu'il y a thé ou tea dans le titre -, tâté du manga, repris de la bd, et plongé dans le roman graphique.
Parmi les plus récentes lectures
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Un thé en Iran d'Olivier Kluger dans Grands reporters chez Les Arènes
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| Ma Maman de Li Kunwu chez Kana |
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| Le livre des nuages chez Warum |
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| Shenzen de Guy Delisle chez Pow Pow |
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| La voie ferrée au-dessus des nuages chez Kana |
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| Suite française 1. Tempête en juin chez Denoël |
Ce n'est pas toujours drôle, les comics.
5 commentaires:
Depuis quelques années je me suis constituée une bédéthèque importante. Je n'en ai pas parlé sur le blog mais sur instagram, sans mettre de texte quasiment.
Là, voire tes détails de thé me donne envie de les relire avec ce focus de dégustateur théophile. Merci
Ah! insta, fcbk et autres que j'évite mordicus... Ton blogue m'a fait découvrir tant de livres, merci à toi, Vanessa.
Oh merci. Et de mon côté, mes dépenses n'arrêtent pas. Mon mari trouve que l'argent file beaucoup trop pour ce nouveau métier qui m'occupe à plein temps même en vacances... comme si ne plus m'occuper de la même manière de Yael l'ado m'avait laissée sans défense. J'achète des manuels, des guides pédagogiques, des essais de didactique, des BD, des albums. Et puis je ne conçois apparemment pas l'enseignement comme tout le monde, alors j'utilise beaucoup de matériel, de manipulation, de livre. Je me dis aussi que je suis, pour certains de mes élèves, le référent culturel.
Et les romans graphiques, c'est pour moi, divertissants sans être trop longs à lire (je manque un peu de temps quelque fois), et constructifs.
Je n'avais pas reçu tes retours à mes messages sous tes billets, je ne les découvre que maintenant. A suivre. J'ai par contre récupérer ma liste de lecture de blog donc je sais quand tu publies. Chouette.
Chère Vanessa, j'ai failli m'informer du "lutin" sous tes récents billets, j'ai conclu qu'il n'était plus le fil conducteur de ton blogue, même si son âge s'affiche toujours. Je ne seconde ton mari que pour les vacances: prends-les, ce n'est pas du temps perdu. Pour ce qui est de ne pas être trop longs à lire, essaie les derniers livres illustrés de Dany Laferrière et on s'en reparle. K
Oui beaucoup moins d'apprentissages avec le lutin. Il a demandé un peu d'autonomie pendant deux ans, cela ne veut pas dire que nous n'avons rien fait mais cela était moins "construit". Mais je vais reprendre les partages avec lui, il les réclame. J'ai quelques billets en retard, je vais les publier. ;)
Je note ta référence.
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