L'été n'a pas été spécialement chaud ni hâtif alors je m'étonne d'avoir ce matin la goutte au nez, oui, celle qui menace de tomber dans la tasse de thé. Tasse dans laquelle je risque d'éternuer inopinément, formidablement, comme je n'éternue que pendant le rhume des foins, qui ne devrait m'affecter, selon mes statistiques des 24 dernières années, qu'à partir du
17 août.
1 commentaire:
L'été s'étant pointé dès mars et ayant sévi tout juillet, j'éternue depuis déjà un moment, 2 ou 3 fois par jour.
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