Après une seule séance avec le DVD, je dirais qu'il y a abondance de thé dans la première partie de
Miss Potter, jusqu'à ce qu'elle lise la lettre lui annonçant que son fiancé est malade, et plus une goutte, plus un bec, plus une anse après. Mais Anaïs Nin dit:
We don't see things as they are, we see them as we are, alors je saute peut-être aux conclusions.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire