En l’absence de personnel, ils durent se débrouiller pour s’alimenter. On puisait à la source qui coulait dans le jardin de l’automne la seule eau non stagnante. Les communs contenaient une réserve phénoménale de ce thé qui avait fait la fortune du propriétaire. Le domaine recelait aussi une multitude de plantes comestibles.Frédéric Lenormand Le mystère du jardin chinois Fayard 2008
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