Depuis 2014, le 12 août est la journée du livre québécois. Cette année, c'est dès le mois de mars que j'ai commandé deux livres d'ici dont le sujet essentiel ou secondaire est le thé.
Et j'ai reçu de la biblio-maison ce livre
que j'ai demandé dès l'annonce de sa sortie. La tête qu'a faite Fille Cadette en l'apercevant me fait craindre qu'elle l'ait déjà acheté pour mon anniversaire. Craindre ou espérer?
Il semble que les voyages en avion soient plus essentiels que la poste, dont les négociations tardent à aboutir après le vote des postiers qui ont rejeté massivement l'offre "finale" de la société d'état. Les syndiqués n'ont pas repris les heures supplémentaires, seul levier actuellement utilisé pour faire avancer les discussions. Ce qui explique sans doute que le thé commandé cinq provinces à l'ouest d'ici n'en traverse qu'une par jour ouvrable. J'ai regardé les prévisions météo avant de commander, et mal évalué ce qui restait dans les boîtes ainsi que le temps de livraison, j'espère le recevoir au plus tard vendredi.
Pas question de passer au café, comme le montre ces statistiques de 1925.
