
Triste à dire mais c'est parce qu'elle va fermer à la fin de son bail que nous avons visité cette librairie. La sensation d'entrer dans un décor nous a saisis: une reconstitution de bibliothèque de manoir anglais, avec ses boiseries, ses marchepieds, escabeaux, échelles, escaliers et même, son chat! Good heavens! Il reste quelques semaines pour profiter de cet écrin à livres.
En mars, il n'y avait plus le moindre bonbon quand nous avons vu que la confiserie de la rue St-Denis fermait, après dix-huit ans. Je me souviens de son premier local, dans les mêmes tons de rose et d'orange mais beaucoup plus petit: l'impression d'entrer dans une bonbonnière, remplie de douceurs inconnues, importées! J'y ai trouvé de belles boîtes théières, pleines de préférence de caramels, ma fille m'y a déniché un chocolat au thé au jasmin.

Louise Décarie a eu l'amabilité d'établir une liste d'adresses où ses clients pourraient, peut-être, se procurer des produits auxquels elle les a rendus accros: merci, madame, pour cet ultime service! L'un de ces commerces affiche, sur son site web, un étalage de samovars. Prometteur de thés, biscuits, confitures...

Un an plus tard, Nicholas Hoare fermait la librairie de Toronto https://www.actualitte.com/article/monde-edition/le-libraire-nicholas-hoare-ferme-boutique-a-toronto/39458
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