Cette rose ancienne (1832) est enfin abondante dans le rosier transplanté en 2004, et comme il n'a reçu aucun pesticide depuis 3 ans, c'est sans crainte que j'ai semé quelques pétales sur mon thé. Le parfum me monte au nez quand je porte la tasse à mes lèvres, mais je n'ai rien détecté en bouche, même en ajoutant des pétales, même quand le premier fût devenu translucide.
Elle se couvre de boutons teintés rose, qui s'épanouissent en blanc pur et embaument l'air.
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