a commencé quand j’ai entendu les oiseaux circuler dans l’amélanchier. L’attrait de ses fruits, qui n’atteignent jamais la maturité, est tel que les merles – rouge-gorge – ont bien du mal à aller dormir et sont les premiers à l’œuvre le matin, sans un cri, comme pour ne pas alerter d’autres amateurs.
En 2010, j'ai vu l'amélanchier rester intact, tous ses fruits mûrissant comme jamais encore. Cette année, sans faucons dans le coin, les oiseaux sont tous là, se gavant de fruits à peine rougis: jaseur des cèdres, moqueur-chat...
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