12 février 2014

Strogoff

Toujours écrite par Jules Verne en 1876, cette scène vaut la peine d'être visualisée:
  Une certaine agglomération de ces cases, de toutes les grandeurs et de toutes les formes, formait un quartier différent, affecté à un genre spécial de commerce. Il y avait le quartier des fers, le quartier des fourrures, le quartier des laines, le quartier des bois, le quartier des tissus, le quartier des poissons secs, etc. Quelques maisons étaient même construites en matériaux de haute fantaisie, les unes avec du thé en briques, d’autres avec des moellons de viande salée, c’est-à-dire avec les échantillons des marchandises que leurs propriétaires y débitaient aux acheteurs. Singulière réclame, tant soit peu américaine !
 Une maison en briques de thé! Pas un petit cochon n'y a pensé. Heureusement, d'ailleurs, car j'imagine ce qu'une pluie sérieuse aurait infligé à une telle maison.

 http://blended.fr/art/lis-tes-ratures/ pour voir les couvertures détournées par Clémentine Mélois, bijoux d'imagination sertis de connaissance.
57

2 commentaires:

Thé noir a dit...

Le lien vers les créations de Clémentine Mélois n'est plus valide.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cl%C3%A9mentine_M%C3%A9lois

Thé noir a dit...

Sévryna Lupien illustre bien le mot d'Einstein dans son livre "Je ne suis pas de ceux qui ont un grand génie." http://www.editions-stanke.com/ne-suis-pas-ceux-qui-ont-grand-genie/sevryna-lupien/livre/9782760411906