23 septembre 2010

Equinoxe

En l’absence de personnel, ils durent se débrouiller pour s’alimenter. On puisait à la source qui coulait dans le jardin de l’automne la seule eau non stagnante. Les communs contenaient une réserve phénoménale de ce thé qui avait fait la fortune du propriétaire. Le domaine recelait aussi une multitude de plantes comestibles.
Frédéric Lenormand  Le mystère du jardin chinois  Fayard 2008

Aucun commentaire: